Interview de Nadhir : développeur java chez Natan

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« En prenant du recul, je dirais que NATAN m’apporte l’appréciation de faire partie intégrante d’une entreprise qui est là pour ses collaborateurs »

Présentation de Nadhir

Qui es-tu ?

 

Hello, je m’appelle Nadhir et je suis développeur Java. Pour la petite anecdote, dans mes débuts je faisais de la data avec Scala et Spark. Cela me plaisait et j’imaginais poursuivre ma carrière dans ce sens jusqu’à ce que les exigences du marché à l’époque me conduisent à m’intéresser à la technologie Java.


Aujourd’hui je ne regrette absolument pas mon choix, je dirai même que j’ai trouvé ma voie. Je m’éclate en faisant du développement back end et je touche aussi au front avec Angular.

Ton intégration chez NATAN ?

 

J’ai eu une belle intégration ainsi qu’une formation enrichissante dans le cadre de mon bootcamp. C’est d’ailleurs avec NATAN que j’ai commencé à monter en compétence sur la partie front. Ensuite, j’ai bénéficié d’un réel accompagnement pour décrocher ma première mission. Au quotidien, j’entretiens de bonnes relations avec les différents services (ressources humaines, business, direction, communication).

Qu’en est-il de ta mission ?

 

Je suis en mission chez un grand acteur de la communication extérieure. En tant que développeur Java je travaille sur des projets transverses internes tels qu’une application d’échange de documents sur Elasticsearch ou encore une application de management d’authentification. Le point positif est que nous utilisons à chaque fois les technologies les plus récentes (Java 21, Angular 17, etc). Côté architecture et complexité de code, c’est aussi très intéressant !

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton métier ?

 

Le plus excitant pour moi c’est de rencontrer des difficultés techniques sur les projets que je mène. Dès lors que je suis confronté à un problème, il y a cette petite dose de dopamine qui entre en scène et qui me pousse à imaginer une multitude de chemins de sortie. Et, quoi de mieux que la satisfaction d’être parvenu à résoudre un sujet complexe, surtout lorsqu’il qui engage de grandes responsabilités.

Vers quel métier aimerais-tu évoluer ?

 

Plus tard, j’aimerais continuer de gagner en responsabilités en évoluant vers un métier de tech lead ou d’expert technique afin d’avoir une vision plus globale sur les projets. Ça viendra avec l’expérience et beaucoup de travail, j’y crois.

Qu’est-ce que NATAN t’apporte dans ton évolution de carrière ?

 

En prenant du recul, je dirai que NATAN m’apporte l’appréciation de faire partie intégrante d’une entreprise qui est là pour ses collaborateurs. Dans certaines ESN, malheureusement, les consultants échangent avec leur employeur une seule fois par an lors de l’entretien annuel d’évaluation. Chez NATAN, ce n’est pas le cas. Je suis régulièrement en contact avec l’entreprise, il y a des suivis et de nombreux évènements organisés pour fédérer les collaborateurs ; c’est vraiment top !

La question du jour

Quels sont, selon toi, les must-have d’un bon développeur ?

 

« En me mettant dans la peau d’un recruteur, je dirais qu’il y a deux choses très importantes qu’un développeur doit posséder.

La première, c’est un bon relationnel ; surtout lorsqu’il exerce en tant que consultant. Le facteur humain est primordial dans notre métier, il faut être aimable et s’avoir s’intégrer facilement aux équipes pour être soi-même épanoui et travailler en harmonie.

La seconde se rapporte aux compétences techniques que je scinde en deux aspects.

 

Il va de soi qu’il faut avoir un certain nombre de connaissances, des connaissances techniques sur les langages maîtrisés et les outils liés à leurs environnements. Mais ça ne s’arrête pas là, il faut également savoir réfléchir, avoir une capacité d’analyse qui permet d’appréhender l’inconnu et la complexité.

 

Un développeur ne peut pas connaître un langage entier, et même si c’était le cas, il n’y a pas que le langage qui compte. Il y a des dizaines de framework liés à ce langage ainsi que des dizaines d’outils pour la base de données, la connexion, les protocoles, etc. Maîtriser tout cela est impossible, cependant, savoir « se creuser les méninges » pour trouver des solutions et appréhender des sujets difficiles est une véritable qualité.

 

Chez un bon développeur, la capacité d’analyse est tout autant importante que son savoir et ses acquis. Selon moi, l’un ne va pas sans l’autre.

 

Pour le moment je n’ai fait que passer des entretiens, avec la position de candidat. En répondant à cette question je me rends compte qu’il serait intéressant, un jour, de basculer de l’autre côté (de la force ! 😉). »